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Regarder une fleur me fait oublier les soucis
ne serait-ce qu'un instant...
J'espère pouvoir revenir très vite vers vous...
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La messagerie d'une autre époque...
Le télégramme
Sans doute l'un des plus vieux services proposés par France Télécom, sert encore aujourd'hui à féliciter
de nouveaux mariés, annoncer une embauche ou réclamer son argent.
Malgré son côté désuet, "en termes de service offert au client et de joignabilité des destinataires,
il n'y a pas d'équivalent", souligne Xavier Le Floc'h, qui gère ce service chez l'opérateur.
Electro-mot
Après une période faste dans les années 60,
le nombre de télégrammes envoyés est en baisse régulière dans l'Hexagone,
mais est encore d' "environ 10.000 par semaine", selon France Télécom.
A l'heure des SMS et des mails, le télégramme garde un certain charme et
accompagne les grands événements de la vie (décès, mariages, naissances...):
"pendant l'été, nous transmettons beaucoup de télégrammes les samedis"
pour féliciter les mariés, note Xavier Le Floc'h.
Mais les premiers clients du télégramme sont désormais les entreprises et les administrations,
qui envoient plus de 80% de ces messages.
Loueurs de voitures ou de matériel qui veulent signifier que le délai est dépassé,
banques et sociétés de crédit qui réclament leur dû,
administrations qui informent un candidat qu'il est embauché: toutes sont séduites par
"le double impact du télégramme, par téléphone et par courrier"
Entretien complet de Mr Le Floc'h
Bonne soirée ...stop...Vous retrouve demain ...stop...Mireio
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Mon compagnon (depuis plus de 32 ans) est rentré en urgence à l'hôpital...il y a une semaine
Je vais donc faire une pause indéterminée...
Je ne ferais donc pas de billets pour le moment, le coeur n'y ai pas.
Je viendrais vous voir de temps en temps histoire de me changer les idées.
Comme cette petite fleur...
J'ai vraiment les larmes aux yeux !
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L’âne de Provence est une race d’âne originaire du sud-est de la France,
et plus particulièrement de Provence.
C'est un âne de petite taille, robuste et rustique,
qui est caractérisé par sa robe grise pourvue d'une bande cruciale dite " croix de saint André ".
Compagnon historique des transhumances, il est de nos jours utilisé en attelage,
pour des randonnées .
La race a été reconnue par le Ministère de l’Agriculture en 1995.
L'Association de l'âne de Provence est l'association de la race gérant le stud-book et assurant sa promotion.
Depuis le xve siècle, l'âne de Provence est associée à la transhumance des moutons entre
la Basse-Provence et la Haute-Provence,les Alpes et le Dauphiné,
portant le matériel des bergers le long des « drailles »
menant aux alpages.
La race a été sélectionnée sur une charpente et des membres solides
pour parcourir les pistes plus ou moins escarpées des montagnes,
assurant ainsi le ravitaillement des estives.
C'est un âne calme et patient, réputé facile à dresser.
Il est aujourd’hui utilisé principalement comme animal de compagnie
ou dans le tourisme, pour le transport des bagages des randonneurs.
Très à l'aise sur terrains secs, c'est un excellent débroussailleur.
L’effectif d'ânes de Provence a fortement varié en France depuis le XIXe siècle.
À cette époque, il s'élève à 13 000 têtes, puis passe à 2 000 en 1956, pour seulement 330 en 1993.
À partir de 1994, des actions de sauvegarde de la race ont été menées
par l'Association de l'âne de Provence et le Haras national d'Uzès.
La race a ainsi été reconnue officiellement en 1995.
( celui-là se prend pour un cerf...! )
On dénombre 30 éleveurs d'ânes de Provence en activité en France en 2013.
Cette même année, on recense 32 naissances d'ânes de Provence, 26 baudets en activité et 89 ânesses saillies .
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Comme j'aime finir en chanson ...
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C’est étrange, un arbre, en hiver.
Immobile, sombre, décharné.
Seul, sur fond de ciel blanc et terne. Subissant sans broncher les assauts hostiles
du vent, du froid,
de la neige aussi.
ses branches sont comme celles d’un malheureux escogriffe.
le vert est annoncé, c’est la fête au végétal.
Au printemps, il exulte. Ses bourgeons éclatent, il se pare de mille feuilles,
Mais l’hiver ? Que fait-il ? Comment passe-t-il le temps ? Il attend ? Mais quoi exactement ?
Si l'on pose la question à un biologiste, il répond : en hiver, les arbres dorment… à moitié !
Mais encore ?
Cela s’appelle la “dormance”.
Soit une longue somnolence, dans laquelle sombre doucement l’arbre, sans heurt,
dès l’automne, lorsque le fond de l’air annonce le froid à venir.
Car l’arbre a un objectif : protéger ses bourgeons, que menace notamment le gel.
Et pour remplir cette mission, l’arbre se met en veille.
C’est-à-dire qu’il ralentit sa croissance.
Un exploit ! Protecteur,
il va même jusqu’à former des écailles là où naîtront les futures pousses feuillées,
leur faisant comme un nid douillet d’où elles pourront éclore sans crainte,
(Une petite exception : Le Plaquenier , arbre méditerranéen , à kakis qui sont à maturité de Octobre à Février)
lorsque les beaux jours seront revenus.
Source du texte : ICI
et pour celles et ceux qui sont aller jusqu'au bout ...