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Vous aller peut-être passer l'été les doigts de pieds en éventail
autour de grillades, en sirotant un bon verre de rosé bien frais en compagnie de vos amis !
ou en vous baladant sur les chemins de France ou de Navarre !
Mais voilà, sans saper votre moral , en rentrant
la maison aura grand besoin d'un bon coup de ...
Je vous propose donc de découvrir
La commune de Lapalud est située à l'extrême nord-ouest du département du Vaucluse,
à une cinquantaine de kilomètres au nord d'Avignon
L’Histoire du balai à Lapalud
La culture du sorgho remplace celle de la garance et de la vigne et l’élevage du ver à soie.
Autrefois, Lapalud était couvert de forêts de mûriers et on cultivait la garance pour teindre les vêtements en rouge,
mais la garance est remplacée par un produit chimique et la soie est remplacée par une fibre textile artificielle.
La vigne, quant à elle, est décimée par le phylloxéra.
Il y a environ une centaine d’années, commença la grande aventure du balai.
Un habitant rapporta de Caderousse, quelques centaines de graines de sorgho qu’il planta dans sa propriété.
Lapalud se met alors à cultiver le sorgho qui pousse bien dans la plaine car il a besoin de beaucoup d’humidité.
Une paille spéciale, particulièrement souple, fut récoltée.
Aux coins des âtres, les familles se mirent à la façonner.
Lapalud petit à petit se fit un nom et une renommée, grâce à ses balais.
Puis, avec de nombreuses commandes, vint la prospérité.
Dans les années 1920, il y a quatre établissements qui fabriquent des balais, on en compte une dizaine à la Libération.
Sur le cours des Platanes s’installèrent des étalages multicolores, après qu’un lapalutien,
Maurice Deslias qui s’intitule l’inventeur du balai en couleurs eût converti des milliers de balais, brosses
et plumeaux en agréables billets de banque
Le succès et les bouchons
Les vacanciers sur la route du soleil achetaient un balai, une brosse, un plumeau
auprès d’un des quelques trente vendeurs installés le long de l’avenue des platanes, dans une symphonie de couleurs.
Cela a commencé par des plumeaux et des balais multicolores.
Et après, il y a eu des paniers, des cache-pots, de tout !
Environ 1000 balais sortaient chaque jour des fabriques Gilles-Père, Daudel, Roustan ou Marre.
L’effervescence est telle que:
" l’été, pour traverser Lapalud, vous mettiez vingt minutes ! C’était tout bouché."
Personnalités célèbres
Plusieurs personnes célèbres de l’époque se sont arrêtées pour acheter des balais.
Henri Court a vu sur son stand Roger Lanzac, Luis Mariano, Josette Lemaire, Jean Nohain,
Kader Firoud (entraîneur de l’équipe de France de foot)…
Pierre Gilles a aperçu Joséphine Baker, Fernand Reynaud, le Général de Gaulle, Winston Churchill, Fernandel.
Brigitte Bardot est passée dans Lapalud assise sur le capot d’une voiture mais elle ne s’est pas arrêtée.
Mais derrière ce pactole en paille qui a permis à Lapalud de se muer en terroir heureux, se sont dessinées les menaces du mauvais sort...
" On a volé la Nationale 7...!!! "
La Nationale 7, à Lapalud, avait l’importance de la Seine à Paris.
Il s’agissait de la voie royale du commerce, de la richesse.
Pour des raisons techniques , les Ponts et Chaussées l’ont déviée et elle contourna l’agglomération, du côté ouest.
La Nationale 7 perdue, Lapalud est revenue au sommeil de la Belle au Bois Dormant.
Adieu, balais, plumeaux, brosses, paniers… Les touristes filèrent sur la route, sans ralentir, aux feux d’artifice des balais.
Mais certaines manifestations provençales continuent à célébrer cet objet avec joie
comme ici dans mon village de Sablet
Bon...heu !
avec joie, c'est vite dit !!!
Source:
https://www.mairie-lapalud.fr/lhistoire-de-lapalud/lhistoire-du-balai/
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J'ai longtemps joué au tennis et j'adorais çà...
Aujourd'hui je me contente de regarder les matchs à la télé !
Eh oui ! le temps passe ...
Comme sur ces images !
Pour être en phase avec le célèbre tournoi de Roland-Garros qui vient de ce terminer
avec la victoire (une fois de plus ) de Raphaël Nadal,
voici un article sur les débuts du tennis féminin,
où le public s’est souvent pris de passion pour ces matchs!
Dès les débuts du tennis, les femmes pratiquent ce loisir
mais avec obligation de respecter les mœurs de l’époque.
Cela implique le port du chapeau ainsi que de longues robes
pour couvrir les chevilles et les bras entièrement.
Ce n’est pas vraiment pratique pour jouer et courir sur le court,
mais les femmes de l’époque font preuve de beaucoup d’enthousiasme,
allant jusqu’à jouer en soulevant le bas de la robe pour courir plus aisément.
Le tennis devient un loisir apprécié de la haute société
et des compétitions commencent à voir le jour.
Bien sûr, celles-ci sont d’abord réservées aux hommes.
Si le premier tournoi de Wimbledon est organisé en 1877,
c’est seulement en 1884 que cette compétition s’ouvre aux femmes.
La toute première compétition féminine s’organise à Dublin en 1879
après que Wimbledon ait refusé l’ouverture de la compétition aux dames cette année là.
1928 à Rolland Garros
En 1928, le stade Roland-Garros est inauguré pour accueillir la finale de la coupe Davis.
Les hommes jouent en pantalon.
Les femmes foulent la terre battue en jupe courte et plissée blanche.
La Française Tatiana Golovin opte pour la petite robe rose,
tout comme Maria Sharapova (au centre).
Serena Williams, elle, opte carrément pour un total look pink. (Roland-Garros 2005)
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C'est tellement agréable de retrouver la nature qui s'éveille !
je vous fais donc profiter du paysage qui m'entoure...
Il m'émerveille ...
Chaque jour
Le 2 ème à gauche n'aime pas les paparazzis...
Un p'tit cabanon qui cherche un locataire...
Du bois pour votre prochain hiver...
Mais oublions la mauvaise saison !
Qui nous écrit une autre chanson...
Pleine de couleurs...
De ces jolies fleurs...
Les animaux aussi apprécient
l'air de la prairie...
" Qu'est-ce que t'as
à me regarder comme çà ? "
" Rien ... Jusqu'en vous regardant
je sais que c'est enfin le printemps ! "
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Le printemps semble vouloir s'installer depuis quelques jours
mais il est encore temps de profiter des patinoires éphémères
installées dans de nombreuses villes
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À l'origine comme les skis, les patins à glace étaient un moyen de locomotion et de chasse.
Ils étaient alors en peau de bête et la lame était en os poli.
Rapidement, le patin à glace devient un divertissement, en particulier en Grande Bretagne
et dans les pays nordiques où les surfaces glacées sont nombreuses.
Des patins à glace sont attestés à Saint-Denis dès l'époque carolingienne (751 après J-C )
Découverts lors des fouilles archéologiques, ils sont composés :
d'une "lame" aménagée dans un radius de bœuf ou de cheval, d'une chaussure en cuir posée sur la lame
et parfois attachée par une lanière.
En 1650, le premier club de patinage sur glace apparaît en Écosse (l'Edinburgh Skating Club)
En France il reste réservé à une élite :
Marie-Antoinette glisse sur les plans d'eau du château de Versailles,
puis Napoléon III et l'impératrice Eugénie.
Les colons Hollandais et Anglais exportent le patin aux États-Unis où le premier club naît en 1849 à Philadelphie.
et dès 1850, on fabrique en série des lames de patin en acier.
En 1876, à Londres, apparaît la première patinoire artificielle
Le patinage sur glace connait alors un développement important.
Dans les années 1860, un maître de ballet américain Jackson Haines
est le premier à ajouter des éléments de danse classique à cette discipline sportive.
Les premiers championnats de patinage artistique ont été organisés
en Grande-Bretagne le 8 décembre 1879.
L’ISU (International Skating Union) qui a fixé les règles de ce sport a été fondée en 1892.
En 1896 se déroulent les premiers championnats du monde de patinage à Saint-Pétersbourg.
Le patinage de vitesse et le patinage artistique figurent au programme des premiers
Jeux Olympiques d'hiver à Chamonix en 1924.
(Source wikipédia revisitée et images du net)
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"Les critiques voient la musique
et entendent la peinture "
(Aphorisme 2003)
Lise Cormier (Artiste contemporaine québecquoise)
Rien trouvé sur cette oeuvre... Mais j'aime beaucoup.
Si vous avez des renseignements, ils seront les bienvenus
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